14 novembre 2007
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15:00
Un gros coup de coeur pour Massilia Sound System que j'ai vu hier soir en concert. Ceux qui connaissent ne seront pas surpris, les autres feraient bien d'y aller pour voir ça d'eux même.
La salle était petite mais assez bien remplie et j'ai l'impression que beaucoup de spectateurs étaient des expatriés du sud.
Dans un premier temps nous avons eu droit à une première partie qui a démarré un peu lentement mais qui s'est révélée très intéressante, c'est un chanteur nommé Merlo qui maitrise très bien sa voix et possède une tessiture intéressante. Ses chansons abordent toutes sortes de thèmes avec humour le plus souvent et il a même repris une belle chanson de Bobby Lapointe.
Ensuite Massilia est arrivé avec un décor sobre mais significatif, une toile de fond avec Notre Dame de la Garde et un drapeau sur lequel ils projetaient des images, souvent la croix occitane. Leur première partie était composée uniquement de chansons de leur dernier album, dont une très belle sur la calanque des Goudes. Puis ils ont disparu dans les coulisse et sont revenus avec un verre de pastis à la main et ils ont offert une tournée générale au pulic (je rappelle que la salle est petite). Ensuite ils ont enchainé sur une deuxième partie avec de nombreuses chansons que je connaissais, tout en mettant une très bonne ambiance. A un moment ils ont jeté des préservatifs dans la salle en demandant au public de bien les utiliser puis ils nous ont tous fait nous accroupir et même nous coucher pour nous faire relever d'un coup pour mettre le Oai partout. Finalement ils ont achevé le concert en nous faisant faire un farandole au son d'une chanson aux paroles très spéciales (ceux qui connaissent un peu peuvent deviner) en occitan à la gloire de quelque chose qui peut se fumer mais n'est pas du tabac.
Finalement nous sommes sortis à plus de minuit sans avoir vu passer le temps tellement c'était bien. A noter qu'une de mes amies qui ne connait que très superficiellement a été choquée par l'âge apparent des chanteurs. C'est la magie de ce groupe qui veut rassembler toutes les générations et effectivement il y avait dans la salle des gens de 7 à 60 ans.
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Coups de coeur
14 novembre 2007
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14:58
Un élève est entré en cours en me demandant ce que voulait dire "pédo" dans pédophile, j'ai donc expliqué l'éthymologie du mot; Un autre de ses camarades a alors voulu montrer qu'il avait compris et m'a déclaré assez fier de lui : "Moi monsieur je suis zoophile". Quelques instants plus tard un autre élève introduit le mot scatophile et commence à expliquer ce que c'est. Un de ses camarades n'ayant écouté que d'une oreille s'est exclamé : "Quoi c'est les mecs qui font du skate dans la merde!"
Alors que nous étions en train de travailler en seconde ( 15-16 ans) sur les relations familliales et en particulier sur les relations de parentalité un élève m'a demandé : "Monsieur si une femme elle couche avec un mec le soir et avec un autre le lendemain elle peut avoir deux gosses?" Réalisant qu'il ne sait même pas comment cela marche (sachant que dans cette seconde ils n'ont plus de SVT) je choisis de lui expliquer un peu le principe. Après mes explications sur la fécondation j'en viens à parler de ce qui se passe quand il n'y a pas fécondation et un de ses camarades s'exclame alors "C'est pour ça les filles elles ont besoin de Nanas!"
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Perles d'élèves
14 novembre 2007
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13:53
Quand l'espérance est morte
Et que règne l'absurde
Le diable et son escorte
Prennent des habitudes
Le sang appelle le sang
La terreur la terreur
Le dégoût du présent
De haine emplit nos coeurs
Quand l'espérance est morte
Et que règnent les loups
Qui défilent en cohortes
L'horreur est juste au bout
La peur naît de la peur
Un cercle de vengeance
Emprisonne l'honneur
Et libère l'ignorance
Quand au bout du chemin
La lumière est éteinte
Et quand le lendemain
N'inspire que la crainte
La vie se réfugie
Au fond des souvenirs
Seule reste la suvie
Qui ignore l'avenir
Quand le bout du chemin
Apparaît illusoire
Et que l'on n'aperçoit rien
Qui ressemble à l'espoir
Les Hommes disparaissent
Au fin fond de l'oubli
Et des animaux naissent
Des débris de l'esprit
Quand la loi du Talion
Fait office de justice
Que se perdent par millions
Les âmes des complices
Les idées immuables
Si souvent invoquées
Ne semblent pas capables
De gagner leur procès
Quand loi du Talion
Est la seule pensée
Que gagnent les passions
Des plus fanatisés
La violence sans fin
Devient un exutoire
Et les hommes se sont rien
De plus que des barbares
Quand pour seul horizon
Il n'y a que la détresse
Des larmes et des canons
Que les rires s'affaissent
Les hommes se réfugient
Dans les drogues, les boissons
Ou derrière un fusil,
Une fausse religion
Quand pour seul horizon
S'élèvent les barrières
De l'incompréhension
Et des erreurs d'hier
Au lieu de les affronter
Et de sortir vainqueur
L'Homme préfère reculer
Et renforcer ses peurs
Quan la vie perd son sens
Que les bons sentiments
Brillent par leur absence
Que règne le néant
Ne prenez pas les armes
N'endossez pas la haine
Et résistez aux charmes
Des troublantes sirènes
Quand la vie perd son sens
Dans un monde inhumain
Que règne la démence
Que dominent les chiens
Regardez vos enfants
Et cherchez dans vos coeurs
Un amour plus puissant
Pour un monde meilleur
16/12/2002
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Poèmes
13 novembre 2007
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09:05
Hectare: terre représente 1 Km2 de longueur sur 1 Km2 de largeur cultivé
Un hectare c'est une surface faisant mille mètres
Un hectare c'est une unitée de distance, c'est la superficie d'un endroit.
La "révolution verte" a été mise en place dans les années 60 dans le but d'augmenter les rendements et les productions d'engrais naturels comme le blé et le riz.
Ils sont des insuffisances alimentaires au niveau de la viande et des corps gras et desféculents en Inde alors qu'en France la nourriture est répartie également tandis qu'en Inde il y a des insuffisances qantitatives.
La "révolution verte" est ne loi qui consiste à ne consommer que des prouctions végétales pas de viande.
La "révolution verte" est l'intensification de l'agriculture obtenue par l'introduction simultanée de variétés permettant de meilleurs rendements d'engrais chimiques et techniques de lutte contre les mauvaises herbes et les parasites de l'irrigation.
La "révolution verte est une insuffisance de l'agriculture obtenue d'une introduction simultanée qui contribue à la trasormation et à la vente.
Le fait que tout cela, soit mis en évidence,est sencé sensibilisé ceui qui regarde cet affiche sensitaire.
... qui sont de rihesses et dedéveloppement aupossé
... y compris les productionsqu'ils réalisent hahurt du pays
PNB : Prix Nation Brut
PNB : Produit Nutritionnel Brut. C'estla production d'alient pour les habitants exprimer en pour mille.
La différence entre les rangs de l'IDH et le PIB sont que si l'IDH est élevée don plus le PIB est bas donc le pays fait rentrer moins d'argent dans les caisss de l'Etat.
Moralité infantile: le nombre d'enfant qui sont more à la naissance de 0 à 3 ans
Mortalité infantile: c'est le taux de mortalité d'enfant avant leur naissance
Mortalité infantile: C'est le taux de mort d'un enfant (70%?)
IDH: Indutriel du Développement Humain
l'IDH est calculé en fonction de la durée de vie à la naissance
Les frontières sont fermées pour les clandestins, grâce au commerce a due raffraichir leurs règles à cause des associations
Le rôle des frontière sont très importantes dans certains endroit. Pourquoi son telle si necer dans des pays et pas dans d'autres?
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Perles d'élèves
12 novembre 2007
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22:34
Quand je l'ai aperçue
Un bel après midi
Assise à la B.U
C'était un vendredi
Il faisait froid dehors
Je m'étais réfugié
Je m'en rappelle encore
Dans les livres reliés
Et j'ai tourné la tête
D'un geste machinal
Mais soudain je m'arrête
Ce geste m'était fatal
Dans mon champ de vision
Etait une jeune femme
En pleine révision
De nourritures de l'âme
Ses mains dans les cheveux
Un air de nonchalance
Un sourire généreux
Et un regard intense
Puis elle s'est étirée
Sa poitrine apparût
Son dos était cambré
Et m'offrait cette vue
Elle était vraiment belle
Comme un prunier en fleur
Comme une faible étincelle
Comme un coin de bonheur
Sa peau paraissait douce
Comme un peau de pêche,
Comme un savon qui mousse
Un promenade en calèche
Elle paraissait fragile
Comme une porcelaine
Comme une statue d'argile
Comme un agneau sans laine
Dans ma timidité
J'ai détourné les yeux
Ne l'ai pas abordée
N'ai pas fait des aveux
Je me sentais coupable
De l'avoir contemplée
Installée à sa table
En train de travailler
Aujourd'hui je regrette
Mon absence d'audace
Car elle est dans ma tête
Et s'est fait une place
J'ignore jusqu'à son nom
Ses passions, ses pensées
Quels sont ses horizons
Et quel est son passé
Mais ce que jai vu d'elle
M'incite à la connaître
Est-elle juste belle?
Est-elle juste un paraître?
Ou est-elle profonde
Curieuse et réfléchie?
S'intéresse-t-elle au monde?
A-t-elle un bel esprit?
Quand je la reverrai
Elle recevra ces lignes
Par là je lui dirai
Mon attente d'une signe
Si elle veut me parler
En savoir plus sur moi
Qu'elle veut me rencontrer
Malgré tous mes faux-pas
Je sortirai de l'ombre
Et je lui montrerai
Mon côté le plus sombre
Et mes beautés cachées
Elle me confiera
Ce qu'elle jugera utile
De ses hauts, de ses bas
De ses joies infantiles
De ses haines cachées
De ses secrets plaisirs
Ses souvenirs passés
Ses espoirs d'avenir
Si jamais elle me plait
Que son coeur est à prendre
Le moyen d'y entrer
Je m'efforcerai d'apprendre
16/01/2003
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Poèmes
12 novembre 2007
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11:53
J'avais perdu le goût d'écrire
J'avais perdu le goût de dire
Toutes ces choses que je voyais
Toutes ces choses que je sentais
Toutes mes peines et mes joies
A ma plume n'arrivaient pas
Je ne savais plus exprimer
Mes sentiments si contrastés
Toute une année sans poésie
Des centaines de jours sans vie
Ces douze mois d'existence
Avaient perdu de leur substance
Mais ce matin à mon lever
J'avais envie de versifier
Il m'en avait fallu du temps
Pour pouvoir parler au présent
Pour pouvoir ressouder mon coeur
Et pour pouvoir sécher mes pleurs
Mes pensées qui s'étaient enfuies
Sont revenues faire leur nid
Et mon esprit restructuré
Recommence enfin à gueuler
Mes ens de nouveau en éveil
Sortent mon oeuvre de son sommeil
J'ai dans la bouche le goût amer
D'avoir perdu un de mes frères
Tué le jour de son mariage
Comme la moitié de mon village
Par un pilote américain
Paranoïaque mais serein
Qui s'était senti menacé
Par des tirs de festivité
Une victime comme tant d'autres
Exécuté par ces apôtres
Qui sont venus pour nous sauver
Comme des cadeaux empoisonnés
J'ai dans tout le bras la douleur
D'avoir été de tous les heurts
Qui ont duré toute la journée
A quelques mètres du palais
Je sens encore dans ma main
La sensation qui me revient
Celle d'une pierre assez rugueuse
Jetée sur l'auto-mitrailleuse
Deux ans maintenant que je fais ça
Et seulement une blessure au bras
Je souhaite mourrir en martyr
Pour de la misère sortir
J'ai l'impression d'encore sentir
L'odeur de ces corps calcinés
Morts dans l'explosion d'une voiture
Dans l'innocence la plus pure
Parce qu'une grande guerilla
Relance la guerre à Bogota
Plonge à nouveau dans la terreur
Un peuple accablé d'horreur
Et le nouveau gouvernement
Tombe dans le poège de l'armement
Il rève vraiment d'en découdre
Je sens venir l'odeur de poudre
Je vois défiler les chanceux
Juste évacués de chez eux
Par la puissante armée française
Qui n'est pas ici très à l'aise
Mon pays naguère normal
Est devenu un peu bancal
les coups de force se multiplient
Et les tensions s'intensifient
Mon pays semble préparer
Un avenir vraiment bouché
Un peu dans le style libérien
Petit mais très puissant voisin
Il me semble déjà percevoir
Des bombardements dans le noir
J'ai déjà l'impression d'entendre
Dans ma ville les bombes se répandre
Tous leurs discours nous y préparent
Leur flotte a déjà largué les amarres
Douze ans que ne cessent les pleurs
Douze ans que par leur faute on meurt
Ils veulent maintenant en finir
Et à l'ONU ils vont le dire
Avec ou sans ils agiront
Car ils ont leur propres raisons
Oui je ressens de tous mes sens
La Terre qui vit de notre présence
Et mon sixième sens me fait craindre
Une catastrophe et pas des moindres
W (Dabeuliou) Bush et ses débiles
Tiennent à bombarder des villes
J'ai peur d'un monde se pliant
A la volonté d'un puissant
J'ai peur qu'une pseudo-grande cause
Ne nous oblige à une pause
Dans les buts qu'on s'était fixés
Oui la paix et les libertés
Je suis de nouveau sur le front
Luttant par le verbe et le nom
Pour faire passer les idées
Pour que gagne l'égalité
Oui j'ai pris des mois de retard
Les Pen et ses idées barbares
Par des fascistes propagées
Attaquent une France fragilisée
Se placent enfin au second tour
Et la France crie son amour
Je sors enfin de ma torpeur
Quand le monde tombe dans l'horreur
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Poèmes
12 novembre 2007
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10:12
La beauté m'es apparue
Un matin ensommeillé
Je l'ai vue depuis la rue
Et mon coeur s'est arrêté
Elle est brune et élancée
Habillée avec du goût
Son cou porte un beau collier
Et ses mains quelques bijoux
Sa peau est mate et dorée
Aux doux reflets de soleil
Ses yeux de joie éclairés
Sur Terre n'ont pas de pareils
Et si ses lèvres sont claires
Et ne sont pas surchargées
Ce n'est fait que pour me plaire
Car elles en sont plus vraies
Si la décence m'interdit
De vous parler de ses formes
Sachez juste, je vous le dis
Qu'elles devraient être la norme
Ce qui m'attire chez elle
Ne tient pas dans tout cela
C'est la grâce qu'elle a en elle
Qui la suit à chaque pas
Mais à quoi bon vous décrire
Un corps à ce point parfait
Car les mots ne peuvent dire
Cette harmonie achevée
09/2002
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Poèmes
11 novembre 2007
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23:24
Il y a eu beaucoup de progrès avec F. Mitterand avec l'abolition de l'esclavage....
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Perles d'élèves
11 novembre 2007
7
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/2007
22:56
Ce monde n'est pas mien
Et je n'y suis pas bien
Pour le bouleverser
Je suis prêt à me battre
Et pour tout y changer
Pour qu'il cesse de croître
Par les armes ou les mots
Qu'éclate ma révolte
Bénéfice du gros
Car toujours il récolte
Et perte du petit
Qui toujours s'appauvrit
J'en ai assez du monde
Des inégalités
Que la révolte gronde
Et que les libertés
Enfin la Terre innondent
Et le peuple y gagner
01/10/1997
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Poèmes
11 novembre 2007
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22:52
Tout est calme aujourd'hui
Un vent d'Ouest, vent de pluie
Souffle dans les grand chênes
Et c'est un vent sans haine
Dans la campagne verte
La nature est ouverte
J'y comprends et j'y lis
Le vrai sens de la vie
Il faut la vivre à l'air
Et sans jamais s'en faire
Et sans penser à rien
Sans se soucier du bien
Oublier l'extérieur
Et regarder les fleurs
Devenir égoïste
Et oublier sa piste
Se prendre pour un roi
En oublier le mois
En oublier l'année
Et se mettre à rêver.
02/10/1997
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Poèmes
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