Le Journal de Amalkhan

 En tant que socialiste allemand il doit vivre en exil en Norvège jusqu'à la fin de la deuxième guerre mondiale. A son retour il entre au parti socal-démorate dont il est député de 1950 à 1957, date à laquelle il devient maire de Berlin Ouest jusqu'en 1966.
Dès 1964 il est président du SPD, puis de 1966 à 1969 il est ministre des affaires étrangères avant d'être nommé chancelier en octobre 1969. Dans ces différents rôles, il ancre la RFA dans l'alliance atlantique tout en étant l'artisan de l'"Ostpolitik" qui permet le rapprochement des deux allemagnes ainsi que la réconciliation germano-polonaise. En visite à Varsvie il s'agenouille devant les ruines du ghetto et demande pardon pour les crims nazis.
Il reçoit le prix Nobel de la paix en 1971 pour ses actions, puis il demissionne en 1974. Il est mort en 1992.

Après une longue carrière d'apparatchik sous Staline il participe au renversement de Khrouchtchev en 1964 par la nomenklatura. Il arrive très vite à la tête de l'URSS en devenant Premier secrétaire du PCUS en 1966.
Il reprend la repression contre les dissidents, restaure le culte de la personnalité et ennonce la doctrine de la "souveraineté limitée". Il écrase d'ailleurs le "printemps de Prague" en 1968. C'est un acteur de la détente puisqu'il signe les accords SALT 1 avec Nixon puis l'Acte final d'Helsinki. Mais il en profite pour étendre l'influence soviétique en Afrique, puis il relance la Guerre Froide en installant des missiles SS20 en Europe en 1977 et en envahissant l'Afghanistan en 1979.
A sa mort en 1982 l'URSS  fait figure de grande puissane mais elle est affaiblie par la bureaucratie (et la corruption et le clientélisme qui vont avec)  et la dictature. Elle n'a pas su évoluer, c'est que Gorbatchev appela la "'stagnation brejnevienne".

désastrueuse

Si la population aurait été prévenue...

les catastrophent

La mention de risque est définie par... (bien sûr il voulait dire "notion")

...résultent de forcent...

Le climat tien ossi son rôle

C'est risques sont...

Société qui par sont besoins...

provoca

Quand est-il de l'avenir du Monde?

Quesque le risque?

Les diffus et les résulters de la pollution des eaux, de l'air et du sol.

Le nombre des victimes lors des catastrophes est souvent amplifié par les accompagnants.

Le développement durable, permet aux générations présentes de satisfaire à leurs besoins sans compromettre la capacité des généations futures de satisfaire à leurs besoins sans copmpromettre la capacité des générations actuelles de transmettre un monde vivable, viable et reproductible.

... ce qui nous conduits à nous posez les questions suivantes...

... de nombreux fénomènes...

ces villes ne semble pas prendrent en compte

Ils sont par la planète.

uns nuage

la variabilité thématique (dans le livre il y a écrit "climatique" mais je ne sais pas sur qui il a recopié)

des conscéquences

...de longues discussions politique.

la planette (écrit quatre fois comme cela dans la copie, au moins elle est sûre de son orthographe)

J'ai donc cédé à la pression exercée par les médias et mon entourage et j'ai regardé "Bienvenue chez les ch'tis". Avant même de faire mon commentaire jetiens à préciser que j'avais des a-priori assez négatifs sur ce fim dont j'avais vu la bande annonce et qui ne me paraissait pas voler très haut. Je dois aussi préciser que j'ai du mal à apprécier Dany Boon en règle générale.



Je dois admettre que ce fim est sympathique même si je n'irais pas jusqu'à dire comme certains qu'il est exceptionnel. Le scénario général est classique et on le devine dès la deuxième minute, ce n'est donc pas de ce côté là qu'il faut chercher pour trouver les explications de la réussite de ce film. De même certaines scènes sont très prévisibles, tout comme la chute de quelques gag que l'on voit venir gros comme un terril.
Ce film voulait jouer sur les préjugés et c'est assez réussi. J'ose espérer que les préjugés qu'il contient sur les gens de Provence font partie de cette critique sur les préjugés. Pour moi qui suis natif du Sud-Ouest et qui ne connait que très peu cette région, j'ai trouvé quelques idées reçues assez bien traitées. Cela dit cela reste très caricatural, tant dans la vision des ch'tis qui nous est proposée, tant dans celle des provençaux. Quelques gags sont assez bien trouvés mais globalement il n'y a rien d'exceptionnel dans ce film qui est un long vaudeville comme on en faisait autrefois en france. Et après tutpourquou encenser De Funès et pas Dany Boon? On passe donc un bon moment devant ce film, on rigole parfois, on sourit souvent (même s'il arrive que cela ne soit pas parce qu'on est amusé mais plutôt parce que l'on trouvé le gag un peu facile), bref on ne s'ennuie pas.
Un bon point de ce film pour moi est le jeu des acteurs, qui sont tous convaincants malgré des personnages à camper parfois très caricaturaux. L'autre bon point est l'amour du pays que l'pn voit dans ce flm, et qe l'auteur  tient à nous faire partager. Des images très belles de cette région qui, il est vrai, est bien plus belle et ensoleillée que ne veulent bien le croire es français, tout y passe, depuis les plages avec les chars à voile jsuqu'aux carillons des beffrois, en pasant par la cuisine. Ce film aurait pu être commandé par la chambre de tourisme du Nord Pas de Calais.

On passe donc un moment agréable en regardant ce film, car même s'il ne mérite pas d'être encensé il ne mérite pas d'être descendu. A l vue du succès qu'il rencontre on ne peut que souhaiter une vague régionaliste en France avec la réponse des provençaux, et la mise en avant des basques, des bretons, des savoyards ou des alsaciens pour ne citer qu'eux.

Aujourd'hui une élève, qui lisait théoriquement un document en silence, lève soudain la tête et me demande si le mot "pythagoresque" existe. Un peu pris de court je lui réponds que peut-être que oui, et alors elle regarde sa voisine avec un air triomphal et lui dit qu'elle avait raison.
Un peu curieux je lui demande ce qu'elle entend par là et tout naturellement elle me répond que cela veux dire "qui fait pitié". Ayant du mal à garder mon sérieux, je lui explique que non, cela ne voudrait pas dire cela du tout, que le mot qu'elle cherche est "pitoyable". Sans se démonter elle me dit que non, ce qu'elle cherche c'est un mot qui finit en "esque". Sa camarade de derrière propose alors "pittoresque". Et tout la classe semble d'accord avec cela.
Encore une fois j'explique que ce mot là non plus ne convient pas et donne le sens de pittoresque, que mes élèves comprennent comme étant synonime de vieux et dépassé. Après une nouvelle clarification, j'obtiens de reprendre le cours.
Cinq minutes après ma première élève revient à la charge, en me demandant si je suis sûr de moi, s'il n'y a pas un autre mot. en "esque" car finalement mon argumentation ne l'avait pas convaincue.